SIHH 2017: Marguerite, merveille florale de Christophe Claret, se pare de diamants
SIHH 2017: Marguerite, merveille florale de Christophe Claret, se pare de diamants
Romantique et subtilement poétique, la montre Marguerite incarne la quintessence de l’horlogerie féminine telle que la conçoit Christophe Claret. A la virtuosité mécanique, l’horloger ajoute une esthétique audacieuse et singulière qui exalte l’imagination et dévoile un message secret personnalisable. La fugacité du temps et la passion amoureuse se posent délicatement au poignet, avec un raffinement rare auquel aspirent toutes les femmes.
Il y a mille façons d’aimer et autant de manières de le dire. Il y a mille langages pour saluer la fuite du temps et rendre chaque instant précieux et unique, infiniment… Pour les femmes, et seulement pour elles, Christophe Claret n’en choisit qu’un seul. Celui du romantisme. Poétique, mue par un singulier sens du jeu et de l’illusion, Marguerite s’inscrit dans la lignée de la Margot, le tout premier modèle féminin de Christophe Claret. Une création qui confirme la volonté de la maison horlogère de donner corps à une collection féminine à part entière, composée de complications exclusivement dédiées aux dames.
Un enchantement précieux et inédit
Dévoilée en 2015, la montre Marguerite, est déjà disponible en 5 versions différentes en or gris ou en or 5N serti « flocon » ou serti « champagne », teintées de bleu, rouge ou vert selon les versions.
Pour ce nouveau modèle, elle se pare de diamants, plus de 600 au total. A l’audace de ce mécanisme teinté de romantisme, Christophe Claret ajoute celle de l’esthétique du boîtier. Pour souligner sa silhouette de 42,50 mm en or 5N, la Maison horlogère a serti la lunette et les attaches de plus de 380 diamants de tailles diverses.
Quand l’éphémère évoque l’intemporel
Au cœur de cette fable horlogère, deux graciles papillons virevoltent autour d’une marguerite dont les pétales sertis de plus de 220 diamants se chevauchent afin de reproduire ceux d’une vraie fleur. Pour escorter joyeusement la course du temps, Christophe Claret a en effet invité deux papillons teintés de Super-LumiNova de couleur orange. Le plus foncé, symbolisant la femelle, est posé sur un pétale de la marguerite qui entre en rotation toutes les heures. Le plus clair, incarnant le mâle, indique quant à lui les minutes. Posé au bout d’une tige solidaire du précieux pistil en rubis, il papillonne littéralement autour du cadran en nacre blanche.
Un message secret personnalisé
L’enchantement visuel ne s’arrête pas là. Montre romantique par excellence, Marguerite fait de la passion amoureuse un sujet de rêverie intime. Outre l’indication des chiffres arabes 3, 6 et 9, le cadran présente un deuxième affichage. Sur une simple pression du poussoir situé à 2h, les chiffres s’éclipsent pour laisser apparaître la phrase « Il m’aime passionnément ». Ce message peut être personnalisé via un configurateur sur le site internet de la marque. La montre peut afficher n’importe quel message demandé par l’acquéreur, dans la langue désirée, le nombre de caractères étant limité. Pour mettre au point ce jeu d’illusion, Christophe Claret s’est inspiré du célèbre tour de magie « Wow !! ». A l’image de ce tour jamais intégré dans une montre, le changement entre les deux affichages est réalisé grâce à la superposition de deux disques : le disque supérieur mobile en saphir transparent métallisé d’une mosaïque de carrés entre en rotation sur le disque inférieur fixe en nacre blanche sur lequel est décalquée, en noir, une autre mosaïque intégrant le texte et les chiffres. En relâchant le poussoir, le retour à l’affichage des chiffres des heures s’effectue instantanément.
De la poésie, dans chaque détail
Parce que Christophe Claret excelle dans l’art mécanique, la montre Marguerite est équipée d’un mouvement manufacture à remontage automatique dont le double barillet offre une impressionnante réserve de marche de 72 heures. Le fond saphir du boîtier donne à admirer la masse oscillante du mouvement sculptée telle une marguerite et sertie de huit rubis. La propriétaire peut à l’envi s’adonner au jeu « He loves me… he loves me not », version anglophone simplifiée de l’effeuillage de la marguerite, cette distraction typiquement féminine inventée au Moyen-Age. Pour jouer, il suffit de positionner la montre à l’horizontal et d’effectuer un ou deux mouvements ondulatoires. La masse oscillante tourne alors quelques instants avant de s’immobiliser. Le rubis le plus proche du cœur laqué rouge délivre la réponse – « yes » ou « no », au centre.
Amoureux des détails, Christophe Claret multiplie les références à la délicatesse de la marguerite. Au centre de la masse oscillante, un élément cerclé et diamanté en forme de fleur permet de dissimuler le roulement à bille. Un motif auquel font écho les cannelures qui, telles des pétales, ornent la couronne, ou encore les vis du bracelet, également en forme de fleur.
Plus que jamais, la Marguerite s’impose comme un symbole du jeu romantique de l’amour et du hasard. Une montre à aimer passionnément au gré des différentes versions en or gris ou en or 5N, serti « flocon » ou serti « champagne », ou avec pétales sertis, disponibles en séries limitées de 30 pièces par version.